Bonjour,

Nous avons adopté un chiot labrador il y a deux semaines après de longues réflexions et suite à plusieurs discussions avec différents éleveurs.
Notre rythme de vie et situation professionelle font que nous sommes absents 11h de suite sans possibilité de rentrer le midi et ceci du lundi au vendredi sauf les weekends où nous sommes en congés et ceci ne pourra pas changer.

Nous le promenons dans différents environnements (ville, campagne...) matin et soir (temps adapté à son âge) et nous jouons également avec lui quand nous sommes présents + éducation par nos soins.

Il est dans un enclos de 300m2 avec abris de jardin et niche la journée et dès que nous rentrons il est avec nous jusqu'au lendemain.
Malgré plusieurs avis de professionnels nous ayant confirmés que le temps seul ne serait pas un problème, nous commencons tout de même à avoir des doutes concernant son bien être et son comportement future malgré qu'il ne montre pas (pas encore) de signe pouvant penser qu'il vit mal cette situation à part quelques petits cris au départ et retour dès qu'il nous entend mais pas d'hurlements.

Nous nous permettons de poster ce sujet afin de recueuillir des avis fondés de personnes ayant vécues la même situation afin que nous puissions prendre une décision raisonnable car nous connaissons un couple qui recherche un chiot labrador et qui a un rythme de vie avec bien plus de temps que nous.

Merci d'avance pour votre aide,
CD74

Bonjour,

Malheureusement il n'y a plus beaucoup de passage sur ce forum... c'est surtout sur le groupe facebook.
Pour répondre à la question. Pour moi c'est beaucoup trop 11h seul 5 jours par semaine... ça peut être exceptionnel ou deux jours par semaine max mais 5 jours non... il faut bien comprendre que le chien (et encore moins le labrador) est fait pour vivre en groupe avec des interactions. En gros, pour lui ses journées consiste à vous attendre.... je ne comprends pas que des professionnels aient pu vous dire le contraire...
Si vous connaissez une bonne famille, c'est mieux pour lui.
Bon courage